lunes, 8 de diciembre de 2014

Le royaume de Kensuké


Le royaume de Kensuké



1. Le livre s'appelle "Le royaume de Kensuké" car quand 

Michael tombe du bateau , il se retrouve sur l'île seulement 

accompagné de Kensuké. Kensuké était un survivant d'une guerre 

du Japon qui est  arriver sur cette île.Comme Kensuké était le seule

 habitant , cette île s'appelle le royaume de Kensuké.


2. Mes 10 lignes favorites :



Je suis né au Japon à Nagasaki. Très grande ville, près de la mer.

Je grandis dans la ville. Quand mi jeune homme, j'étudie médecine 

à Tokyo. Bientôt je deviens docteur, docteur Kensuké Ogawa. Très 

fier de moi. Je m'occupe de beaucoup de mères et de bébé;s aussi. 

Je suis la première personne au monde qui voit les bébés venir au 

monde. Puis je vais à Londres. Je fais des études à Londres, à 

l'hôpital Guy. 

Bien sur, j'apprend à parler un peu anglais, à l'hôpital. Ensuite, je 

reviens à  Nagasaki. J'ai une très belle femme, Kimi. Puis j'ai un 

petit garçon aussi, Michiya. Moi très heureux, ces jours là.

J'ai préférer ces 10 lignes car j’attender savoir la vie de Kensuké     

 depuis des chapitres anterieures.


3.  J'aurais appeler ce livre "Le voyage de Michael" car toute 

l'histoire commence par le voyage de la famille de Michael


4.  Kikambo: Kikambo est un petit est vilain orang-outan qui 

s'échappe tout le temps , pour cela il as presque était tué par les 

tueurs.

5.
5.

domingo, 7 de diciembre de 2014

Je voudrais etre

  1. Je voudrais être un renard car il sont tres ruses et forts et parce qu'il est l'animal du diable .


Le renard est appelé "goupil", jusqu'au moment où il prend le nom du célèbre héros du Roman de Renart. Déjà considéré comme un animal fourbe et malfaisant par Aristote, par les fables antiques et par l'Evangile (qui donne son nom au cruel roi Hérode), le renard est au Moyen Âge le symbole de la ruse, de la perfidie et de l'hypocrisie : "Tous ceux qui s'adonnent à la ruse et à la fourberie sont appelés Renart" (Roman de Renart).
"Le renard est très fourbe et plein de ruse, et il ne suit jamais un chemin rectiligne. Physiologue affirme que lorsqu'il a faim et qu'il ne trouve pas de quoi manger, il se roule dans la terre rouge de telle sorte qu'il donne l'impression d'être tout ensanglanté, puis il s'étend sur le sol les pattes en l'air comme s'il était mort, il retient son souffle et gonfle la poitrine en cessant de respirer [.] Les oiseaux [.] s'imaginent qu'il est mort ; ils vont alors se poser sur lui, mais à ce moment il s'empare d'eux et les mange. Le renard représente le Diable, car celui-ci feint d'être mort pour tromper tous ceux qui vivent selon la chair."

lunes, 20 de octubre de 2014

Ecrire á la manier de Chétien de Troyes

La conjointure

art de Chrétien possède plusieurs caractéristiques dont la principale est de réussir à unir en une œuvre cohérente des éléments d'origines diverses et n'étant nécessairement pas fait pour se rencontrer. Parti de la matière de Bretagne, issue elle-même de légendes celtiques, Chrétien ajoute des formes littéraires enseignées lors de la formation scolaire, des éléments provenant des chansons de trouvères, d'autres utilisés dans la littérature courtoise ainsi que des références aux codes de la société noble du 12 .

 Chrétien de Troyes raconte des histoires tirées de la matire de bretagneou reprend des légendes antiques qui fourmillent d'éléments merveilleux. Sans rejeter complètement ce fantastique, Chrétien le mêle à des formes réalistes inspirées de ce qu'il connaît des cours dans lesquels il vit. Ce souci du vraisemblable et du détail qui touche l'auditeur est une des raisons de son succès. Toutefois, Chrétien de Troyes qui pose quelques éléments réflexifs sur la pratique de l'écriture dans ses romans indique que, selon lui, l'art du romancier tel qu'il est pratiqué par lui, tient à sa maîtrise de la « conjointure ». Ce terme recouvre la capacité à lier dans une même grande œuvre des éléments de récits différents. À un même personnage sont attachés diverses aventures et l'art du romancier est de reprendre ces courts récits, qui peuvent être des chansons interprétées par des trouvères, et d'en faire un texte organisé. L'auteur s'inscrit ainsi dans une tradition qu'il reprend et modifie sans toutefois vouloir être vu comme un auteur innovant car l'idéologie dominante alors est de révérer l'ancien et le rôle de l'auteur se contente à reprendre des histoires déjà connues et de les adapter au mieux pour son public ou son lectorat. Cela ne signifie pas qu'il abandonne tout style personnel mais qu'il met celui-ci au service du récit classique.

L'art poetique


Cet attachement aux sources déjà connues par son auditoire ne contamine cependant pas le travail formel de l'auteur. Chrétien utilise un vers fréquent dans les romans en vers du 12 em siecle, l'octosyllabe à rimes plates. Les vers ont donc huit pieds et riment deux à deux. La longueur des vers est constante et jamais Chrétien ne laisse un vers plus long ou plus court dans son roman. Les rimes sont parfaites et il est exceptionnel qu'un mot rime avec lui-même. Au contraire les rimes sont souvent riches voire léonines. Selon les besoins du vers, Chrétien fait varier l'élision et le hiatus et des mots qui habituellement s'élident peuvent être gardés complets et créer un hiatus. Il en est ainsi par exemple pour la conjonction se que Chrétien choisit parfois de ne pas élider comme dans se aventure. Pour jouer aussi sur la mesure des pieds Chrétien utilise les mots à double forme comme encore / encor ou onc/ onques, etc..
Par ailleurs, Chrétien innove en brisant l'unité du couplet car le sens de la phrase peut dépasser le deuxième rime. Cette rupture n'est pas un effet gratuit, elle sert à attacher deux discours, le premier s'achevant avec le premier vers, le second commençant avec le second. Elle sert aussi à lier un dialogue et un retour à la narration, à séparer chaque action placée dans une série, à marquer un changement de lieu ou de temps ou enfin à mettre en relief un proverbe ou un commentaire du narrateur sur l'action en cours. Dans ce dernier cas cela participe de la mise à distance du récit et cela permet de décrire les caractères des personnages. En effet Chrétien de Troyes porte un regard souvent ironique sur les personnages et ce caractère identifie son style . Celle-ci se porte sur les personnages et leurs actes et amène aussi un discours distancié adressé au public cultivé, c'est-à-dire un public de nobles. C'est en dernier ressort à ce public de porter un jugement sur les personnages et leurs actions.
Un autre trait caractéristique de l'écriture de Chrétien est son recours à la comparaison. Elle peut être classique au sens où elle reprend des topos de la littérature comme la comparaison du héros à un personnage mythologique, historique ou religieux ou encore la comparaison de l'amour à un feu. Cependant certaines sont plus rares comme celle qui établit une ressemblance entre Soredamor, dans le Cliges, et la reine de l'échiquier. Ces comparaisons s'intègrent à un texte où les descriptions jouent un rôle important.
 
La peinture d'un monde


Dans ses romans arthuriens, Chrétien ne donne pas nécessairement le nom du personnage principal dès sa première apparition. Ainsi Perceval dans le roman éponyme n'est-il nommé qu'au vers 6241. Cet anonymat s'abolit lorsque le personnage est confronté à la crise qui l'oblige à effectuer une quête. La révélation du nom du héros au lecteur est liée à la révélation de son devoir au héros. La rétention de l'information est donc un travail stylistique de Chrétien qui maitrise les éléments qu'il apporte dans son roman pour obtenir un effet sur le lecteur. Dans le même sens s'exerce son écriture lorsqu'il décrit des objets. Ainsi, lorsque Perceval découvre son premier château, ce dernier est décrit complètement, alors que les personnes vivant à l'époque savent à quoi ressemble un château. Cette description rapproche le lecteur de Perceval qui, lui, n'a jamais vu de château. Les descriptions ne sont donc pas gratuites et permettent d'apporter des informations au lecteur.








domingo, 28 de septiembre de 2014

Les Choristes

Quoi
Les Choristes est un film qui raconte l’histoire d’un musicien qui enseigne aux élèves l’importance de la musique. Le musicien s’appelle Clément Mathieu. Il a une relation sympa avec les élèves. Le directeur d’école est aussi un autre personnage qui est très important dans le film. Il a des relations avec les élèves aussi mais c’est diffèrent de Clément Mathieu. Le directeur et Clément Mathieu illustrent des caractéristiques contraires.

ARGUMENT

50 ans après l'histoire principale, Pierre Morhange, chef d'orqueste aux États-Unis, retourne en France chez lui après avoir appris la mort de sa mère avant un de ses concerts. Un vieil ami, Pépinot, arrive à sa porte avec un vieux journal ayant appartenu à l'un de leur enseignant, Clément Mathieu ; ils le lisent ensemble…
Janvier 1949. Clément Mathieu, professeur de musique sans emploi, est nommé surveillant dans un internat de rééducation pour mineurs, nommé « Fond de l'étang ». Particulièrement répressif, le système appliqué par le directeur Rachin peine à maintenir l'autorité sur des élèves difficiles. En familiarisant les pensionnaires aux pratiques du chant, Mathieu va totalement transformer leur vie… et la sienne.


Qui-Quand

 Les Choristes est un film dramatique francais réalisé par Christophe Barratier et sorti en 2004.
Ce film est une adaptation du film de Jean Dréville, La cage aux rosignols (1945), lui-même adapté par René Wheeler et Noel-Noel à partir d'une histoire de Wheeler et George Chaperot.